
En m’inspirant de la mythologie grecque et du fleuve du Styx, j’ai imaginé des plantes aquatiques, aux formes mouvantes, mystérieuses, mais aussi précieuses et délicates. La broderie m’a donc permis de jouer d’une association de perles et sequins avec des entremêlements de fils, qui n’aurait pas pu être créée en illustration.
De plus, la broderie permet de laisser apparent, au dos, le processus de création, l’envers du décor. Alors que ce savoir-faire se veut fin, précis et visant un résultat parfait, on laisse ici les imperfections faire partie de l’objet final.